
Je lui rappelle la politesse en lui disant : "Dis au revoir en partant"
J'avais oublié son sens du 1er degré, elle est retournée à la table et leur à dit : "Au revoir en partant"
Cette enfant me laisse sans voix.
Les petits garçons élevés par des nounous deviendraient des hommes infidèles ? Allons bon… Voilà une nouvelle théorie sur l’éducation qui ne va pas faire plaisir aux mères qui travaillent ! Dans un essai sur les causes des comportements humains*, le psychiatre anglais Dennis Friedman explique que les garçons confiés à des mains féminines étrangères (pendant que leur méchante maman part au boulot pour s’amuser…) intériorisent le concept de « l’Autre Femme », engagée pour satisfaire leurs demandes. Devenus adultes, comme ils sont habitués depuis leur plus jeune âge à avoir en permanence deux femmes pour prendre soin d’eux, ils tournent forcément Tiger Woods et consorts. C’est l’histoire vieille comme le monde de la femme et la maîtresse, la maman et la putain, remise à la sauce psy moderne. On croit rêver. Et les petites filles ? Ce n’est pas mieux. Toujours selon Friedman, l’absence de la mère crée un vide qu’elles s’empressent de remplir, dès l’adolescence, par la drogue, l’alcool (ou par l’addiction aux hommes mariés élevés par des nounous… ?). Pas besoin d’être un fin limier pour deviner les conclusions de ce monsieur de 85 ans : les mères ne devraient pas travailler et, si elles le font – bêtement victimes d’incontournables contingences financières –, elles ne devraient pas reprendre leur job avant que le bébé ait 1 an. Sinon, c’est plié, le syndrome Don Juan les guette. Il faudrait peut-être faire des statistiques sur le nombre d’hommes mariés infidèles qui ont été élevés par leur mère. On aurait des surprises.
Bien sûr, le livre ne développe pas seulement cette idée. Mais c’est celle qui fait scandale en ce moment en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. On en avait déjà entendu de bien bonnes sur la responsabilité des mères (toutes coupables de tout !), mais les renvoyer aussi sec à la nursery (et, comme par hasard, sur fond de crise économique) de peur que le petit n’attrape, par leur faute, le virus A comme Adultère, ça, personne n’y avait encore jamais pensé. Bien joué. Les pères restent curieusement en retrait des observations de Friedman. Il n’y a que les mères qui comptent ! Notons que les trois précédents essais de l’auteur avaient pour sujet une tribu aux moeurs bien spécifiques, quoique réduite, avec son cortège de mères suroccupées et de nannies innombrables : la famille royale. Tu parles, Charles, d’un exemple.
* « An Unsolicited Gift. Why we do what we do » (éd. Arcadia Books).
Par Michèle Fitoussi
Le truc, c'est que je n'y connais rien en voiture, mais vraiment rien ! La preuve, je ne me doutais même pas que c'était aussi grand comme véhicule. Bon, j'avais quand même pris la précaution de me renseigner un minimum avant d'aller voir le gentil garagiste qui tenait absolument à me montrer son fabuleux espace.
Bref, j'arrive en sachant d'avance que ça n'allait pas le faire. Mais je suis gentille et polie (ce qui finira bien par me perdre un jour). N'empêche, j'ai pris un malin plaisir à faire la blonde.
Déjà j'arrive au volant de mon amour de voiture que bien évidemment j'ai pris grand soin de ne pas laver. Genre l'épave. Ensuite je mime la blonde surprise devant la taille gigantesque du véhicule. Succès garantie !
Puis je monte dans le véhicule et le gentil garagiste me montre tous les rangements, rien que sur le tableau de bord. Ben faut pas oublier où on a mis son ticket de péage, parce que sinon il faut bien compter une demi heure pour le trouver...
Après m'avoir fait l'article de ce magnifique et gigantesque monospace, il me propose de faire un tour avec. Il a regretté.
Avec mon amour de voiture je dois presque me mettre debout sur la pédale de frein pour freiner. Quand le garagiste, c'est retrouvé le nez dans le pare-brise il a quand même fallu que je lui explique pourquoi je freinais comme une brute.
Ensuite, nous prenons l'autoroute et là il me dit : Ne prenez pas cette sortie, il y a souvent les gendarmes.
Ben quoi il est volé votre véhicule ? Ou c'est ma conduite qui est douteuse ?
Pour finir je ramène le véhicule et le garagiste à bon port mais il faut juste rentrer le véhicule dans la cour. Je me suis fait un malin plaisir de le regarder et de lui demander quelle partie de son portail il voulait refaire...
En tout cas, c'est définitif, il manque cruellement d'humour et moi je n'achèterais pas un renault espace...